XXI ème siècle, France, banlieue de Paris, en usage
Nos chères administrations dépressives et déprimantes, le temps que chacun y consacre, à déchiffrer, interpréter, démêler...La France et l'informatique, des banques sans e-mail et aux répondeurs saturés (j'en connais), des transactions quasi impossibles (virements en ligne, par exemple, déjà simplement en France, ne parlons pas de l'étranger... ), le fax, vestige d'autres temps et qui perdure, l'harmonisation des administrations... Et parfois un espoir, "Mon service public favori"....qui semble informer en ligne d'autres organismes publics ou privés lors d'un changement d'adresses...qui ensuite t'envoient un courrier postal à remplir...et en plus ça ne marche pas sur Chrome (le moteur de recherche de Google, quand même pas des inconnus dans le monde de l'Internet!). Quand le tsunami de informatique déboulera vraiment dans les administrations, elles se noieront. La mobilité pourtant mise en avant dans le monde du travail pose des problèmes aux solutions kafkaïenne aux administrations qui nous les répercutent, le nomadisme n'est pas trop bien vu "par chez nous". France, Europe, le monde, les technologies sont prêtes et opérantes (co-opérantes) mais bridées, bloquées par les opérateurs téléphoniques qui roulent à grand profit à contre-sens des utilisateurs et voyageurs. Heureusement des concurrences virtuelles inventives et sans frontières apparaissent et "risquent" de bousculer les paysages étriqués et quotidiens de notre environnement administratif. Skype par exemple. Etc. Arrêtons là.
"L'homme, ce trop connu."
Louis Scutenaire (qui fût, entre autre, un complice de Magritte). Mes inscriptions.
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